Oui, dit Maria, toute joyeuse, et mes maîtresses ont même eu la bonté de me permettre de rester jusqu’à lundi matin, à la condition que je serai de retour ici de très bonne heure. Toute la famille était heureuse d’avoir la bonne Maria, si douce et si prévenante. Une chose à remarquer dans ces empoisonnemens, qui mettent en danger tous les membres d’une même famille après le repas commun, c’est que l’on parvient d’ordinaire à sauver quelques-uns des convives, ceux qui ont mangé le moins de cet aliment douteux. Un vieux mendiant s’approche et demande humblement à parler au roi de choses qui touchent l’honneur du royaume : « Excellent prince, dit-il, ne dédaignez pas d’écouter cet homme couvert de la cape des chevriers de l’Etna. Il y avait un propriétaire dans cet État, un homme de grande fortune, qui s’était rendu responsable des dettes d’un autre pour une somme considérable. Elle avait vu qu’elle s’envolait toujours du même côté, et un jour, elle mit un gros morceau de pain dans sa poche, et au lieu d’aller à l’école elle se mit à marcher de ce côté-là. Mais il est à croire toutefois que Heine répondit à Mme Sand et lui donna les renseignements qu’elle désirait, sinon sur Potsdam, du moins sur Berlin
Parsemez vos plats de lamelles de Truffes noires et blanches fraîches séchées pour rehausser délicatement le goût de vos recettes et ainsi proposer des plats au goût de fête à votre famille et à vos amis. Aujourd’hui, c’est jour de fête à Aups ! C’est ce qui arrive au petit malade Cari, le fils d’un aubergiste tyrolien. Tu appellerais ça : Le petit Noël des trois enfants qui avaient faim dans la neige. J’étais fier de ma vue, elle n’avait pas faibli au milieu des sables de la Phénicie, ni devant la neige des glaciers, ni sous le vent de la mer ; nul mieux que moi n’apercevait la remise d’une compagnie de perdreaux et je pouvais lire infatigablement. Pourquoi ce spectacle qui, si souvent, avait frappé mes regards, me remua-t-il, ce jour-là, d’une façon particulière ? Que de fois j’ai béni l’affaiblissement de ma vue, qui, me conduisant chez Secretan, m’arrêta sur le Pont-Neuf et fut la cause d’un travail où j’ai trouvé des jouissances infinies ! Il fallait ajuster les verres, cela exigeait une demi-heure ; j’allai, en attendant, m’asseoir sur un des bancs du Pont-Neuf
Ses principaux écrits, qui tous parurent sous le voile de l’anonyme, sont : Des erreurs et de la vérité (1775), Rapports entre Dieu, l’homme et l’univers (1782), l’Homme de désir (1780), le Nouvel homme (1796), la Ministère de l’Homme-Esprit (1802), des Nombres, ouvrage posthume, 1861. Il a en outre traduit plusieurs écrits de Bœhme. Le but constant de St-Martin est d’élever l’âme de la contemplation de l’homme et de la nature à leur principe commun, Dieu; malheureusement, la plupart de ses ouvrages sont écrits dans un style énigmatique qui les rend inintelligibles pour le vulgaire. St-Marin doit son origine à un tailleur de pierre dalmate, nommé Marin, qui, au VIe s., se retira dans cet endroit pour se consacrer à la prière et y construisit un ermitage; un grand nombre de personnes, attirées par sa réputation de sainteté, vinrent s’établir aux environs, et leur nombre s’accrut bientôt au point de former une ville. La ville se forma autour d’un monastère fondé en 735 par Eudes d’Aquitaine. N. de Jérusalem, est célèbre par la naissance de Saül et par l’attentat qui causa la guerre dite des Benjamites : ses habitants ayant déshonoré la femme d’un lévite d’Éphraïm, celui-ci appela les autres tribus à le venger, et toutes, se réunissant contre la tribu de Benjamin, détruisirent de fond en comble la ville coupable
Faut-il en conclure que Chopin, aussi, « manquait de sens et de goût musical », qu’il était unmusikalish ? « Nous nous sommes assurés, par des essais comparatifs, qu’il ne pourrait y avoir généralement aucun avantage dans la substitution des morceaux, des pelures, des germes, etc., aux tubercules entiers ; les faits que nous avons apportés à l’appui, dans le Mémoire qui fut honoré des suffrages de la Société royale d’Agriculture, ont été confirmés depuis par des expériences renouvelées plusieurs fois. On recourut alors aux moyens extrêmes, et l’on fit usage pour la plantation, de pelures, d’yeux, de morceaux et même de tubercules malades. Seulement, on pourrait objecter que ces expériences ne portaient que sur quatre plantations de tubercules de volume différent, et il ne faut pas avoir assisté à un arrachage de Pommes de terre pour ne pas se rappeler combien souvent est variable le nombre des tubercules que l’on récolte à chaque pied, dans les circonstances de culture ordinaire. Ainsi, mon ami Jean Hogheland m’écrivait que les pieds, qui étaient sortis de la semence que je lui avais envoyée, avaient donné des fleurs toutes blanches, mais qu’il avait constaté que ces pieds qu’il avait déterrés à la même époque où l’on déterre ceux qui ont été produits par des tubercules, n’avaient encore développé aucun de ces derniers, peut-être parce que les tiges n’avaient pas encore atteint leur maturité »